L’HOMME QUE J’ATTENDAIS !
Tu es l’homme que j’attendais !
Tu es mon soleil, ma drogue, ma vitamine.
Tu es ma bouffée d’oxygène,
En toi, j’ai trouvé la tendresse, l’affection,
Qui m’ont souvent manquées.
Tu t’en vas,
C’est comme un soleil qui disparaît,
Tu t’en vas,
Autour de moi, tout s’assombrit.
J’ai le cœur en automne,
J’ai peur du vide et du silence,
Chaque départ est une déchirure, une blessure,
Ton absence fait de moi,
Une enfant sans défense…
Sans toi, il fait sombre dans mon âme,
Car la lueur de tes grands yeux verts,
Illumine un autre visage, celui de la raison.
J’ai peur que notre bonheur ne soit fragile,
Lorsque tu es loin de moi,
J’ai peur,
Que tes yeux se posent sur d’autres visages.
Quand tu pars,
Tu emportes un petit bout de mon âme ailleurs,
Où je voudrais bien être,
Comme la bague à ton doigt,
Je voudrais être à tes côtés,
Et te protéger des autres regards.
Dans la lueur de notre chambre,
Notre lit se meurt sans nos deux corps enlacés,
Voilà que ta voix résonne au téléphone,
Me souhaite le bonsoir, et la nuit me fait peur,
Toi, mon bel oiseau volage,
Je fais mille projets au bout du fil.
Je compte les jours jusqu’à ton retour,
J’attends que tu reviennes,
Où tes yeux se poseront sur moi,
Comme j’aimerais qu’une nuit, par surprise,
Que tu viennes te glisser dans notre lit,
Sentir la chaleur de ton corps m’effleurer,
Mais ce n’est qu’un désir,
Qui se réalisera peut-être…
J’aimerais que tu sois complice,
Des mes passions et de mes envies,
J’aime t’appartenir corps et âme,
Tu es mon île d’amour,
Où j’aurais envie de me poser, de tout partager.
Je voudrais crier mon bonheur aux autres,
Et leur faire partager ma joie,
De te retrouver chaque fois.
Souvent je t’imagine et je songe,
A tes mains expertes,
A tes bras,
Où je m’abandonne à toutes tes exigences.
Tu es l’homme que j’attendais !
Tu es mon soleil, ma drogue, ma vitamine.
Tu es ma bouffée d’oxygène,
En toi, j’ai trouvé la tendresse, l’affection,
Qui m’ont souvent manquées.
Tu t’en vas,
C’est comme un soleil qui disparaît,
Tu t’en vas,
Autour de moi, tout s’assombrit.
J’ai le cœur en automne,
J’ai peur du vide et du silence,
Chaque départ est une déchirure, une blessure,
Ton absence fait de moi,
Une enfant sans défense…
Sans toi, il fait sombre dans mon âme,
Car la lueur de tes grands yeux verts,
Illumine un autre visage, celui de la raison.
J’ai peur que notre bonheur ne soit fragile,
Lorsque tu es loin de moi,
J’ai peur,
Que tes yeux se posent sur d’autres visages.
Quand tu pars,
Tu emportes un petit bout de mon âme ailleurs,
Où je voudrais bien être,
Comme la bague à ton doigt,
Je voudrais être à tes côtés,
Et te protéger des autres regards.
Dans la lueur de notre chambre,
Notre lit se meurt sans nos deux corps enlacés,
Voilà que ta voix résonne au téléphone,
Me souhaite le bonsoir, et la nuit me fait peur,
Toi, mon bel oiseau volage,
Je fais mille projets au bout du fil.
Je compte les jours jusqu’à ton retour,
J’attends que tu reviennes,
Où tes yeux se poseront sur moi,
Comme j’aimerais qu’une nuit, par surprise,
Que tu viennes te glisser dans notre lit,
Sentir la chaleur de ton corps m’effleurer,
Mais ce n’est qu’un désir,
Qui se réalisera peut-être…
J’aimerais que tu sois complice,
Des mes passions et de mes envies,
J’aime t’appartenir corps et âme,
Tu es mon île d’amour,
Où j’aurais envie de me poser, de tout partager.
Je voudrais crier mon bonheur aux autres,
Et leur faire partager ma joie,
De te retrouver chaque fois.
Souvent je t’imagine et je songe,
A tes mains expertes,
A tes bras,
Où je m’abandonne à toutes tes exigences.